Entre la lune, le monde marin et l’aventurier chic, l’horloger allemand MeisterSinger nous balade dans différents univers avec de nouveaux modèles aux caractères et lignes très différentes, sans jamais se départir de sa patte et de sa légendaire mono-aiguille. Découverte Baselworld…
La Lunascope
MeisterSinger propose pour la première fois une création dotée d’une phase de lune dite « astronomique ». La Lunascope reproduit la course de la lune en temps réel dans un large affichage situé au niveau de la partie supérieure du cadran. Une découpe dynamique permet ainsi de découvrir l’astre argenté sur un fond bleu étoilé. La visibilité est parfaite, jusque dans le moindre détail. Le reste de l’espace est occupé par de discrets chiffres et index, la fameuse mono-aiguille caractéristique de la marque, ainsi qu’une discrète ouverture circulaire pour la date à 6h.
La marque a choisi le même boîtier que celui de la ligne Pangaea ; acier inoxydable et diamètre de 40 mm. On note la lunette particulièrement fine qui permet de laisser tout l’espace nécessaire au cadran, star incontestée de ce nouveau modèle.
La Lunascope est équipée d’un calibre mécanique à remontage automatique suisse que l’on peut admirer au dos. Elle promet une réserve de marche de 38h. Autre atout, elle ne nécessite qu’une correction d’un jour tous les 122 ans. Une belle performance face à la majorité des montres à phase de lune qui doivent être corrigées d’un jour complet tous les trois ans !
Ce superbe garde-temps s’adresse donc aussi bien aux amateurs d’horlogerie qu’aux passionnés d’astronomie. Il se décline dans deux versions différentes : l’une avec cadran soleillé bleu saphir et bracelet cuir de veau couleur cognac, l’autre avec cadran opalin argenté et bracelet en cuir impression croco marron foncé.
La Metris
Un modèle plus casual avec cette Metris, une montre robuste et confortable, alliant sport et élégance, conçue pour le quotidien de l’homme, qui se porterait aussi facilement que « votre jean favori ». Ici MeisterSinger signe un garde-temps qui s’adapte aisément à toutes les situations.
L’élément principal qui la différencie des autres modèles est son boîtier en acier inoxydable de 38mm aux lignes dynamiques et aux angles coniques. Celui-ci fait d’ailleurs penser aux montres de sport du début des années 70, l’âge d’or des montres mécaniques.
Sur le cadran relativement épuré, une mono-aiguille évidemment, ainsi qu’un guichet date circulaire à 6h. Le fond est proposé dans quatre couleurs différentes (argent, noir, ivoire et saphir), et recouvert d’un verre saphir bombé. Le dos du boîtier est fixé à l’aide de six vis.
La Metris embarque un calibre automatique suisse ETA 2824-2 offrant une réserve de marche de 38 heures. Autre particularité appréciable, sa résistance à l’eau qui permet une immersion jusqu’à 200m, rendant ainsi ce garde-temps idéal pour les amateurs d’activités nautiques qui aiment avoir à leur poignet une montre raffinée capable de les suivre partout et facile à porter.
La Blackline
Un look surprenant mais plaisant pour cette nouvelle ligne dont le boîtier en acier inoxydable de 43 mm est revêtu de carbone noir DLC avec finition mate. C’est d’ailleurs ce même revêtement qui apporte à la structure une résistance et une robustesse extrêmes. Le cadran, noir mat lui aussi, permet de faire ressortir les chiffres, les indices et la mono-aiguille de couleur crème, tous revêtus d’un traitement Superluminova. On apprécie la lisibilité de l’heure qui est, une fois de plus, impeccable de jour comme de nuit ! Pour le bracelet, MeisterSinger a choisi un cuir de selle robuste et épais (sable ou brun) qui souligne à merveille le caractère de ces montres.
La ligne Black Line affiche quatre modèles en tout, ayant chacun des détails différents au niveau du cadran qui se part de quelques touches de rouge.
La N°3 Black Line est la plus classique des quatre avec seulement la mono-aiguille, les index et les chiffres, ainsi qu’un fin trait rouge pour marquer chaque quart d’heure.
La Perigraph Black Line affiche un disc de date ouvert sur lequel se ballade l’aiguille des heures, changeant ainsi du traditionnel guichet.
Sur le cadran de la Salthora Meta Black Line, des chiffres plus volumineux ainsi qu’un disc des heures situé à midi qui change toutes les 60 minutes.
Enfin, la Circularis Power Reserve Black Line est dotée d’un remontage manuel conçu en interne et d’un affichage spécial pour la réserve de marche à 9h. Tout comme l’heure, cette dernière est indiquée à l’aide de marqueurs et d’indices rouge. Le guichet date se trouve quant à lui à 3h, dans un disc de couleur claire. Le cadran de ce modèle affiche un look dynamique faisant penser à un tableau de bord.
Toutes ces montres sont équipées d’un mouvement automatique ETA 2824-2 ou Sellita 200-1 et offrent 38 heures de réserve de marche, sauf la Circularis Power Reserve Black Line qui est pour sa part équipée d’un mouvement MSH02 avec une réserve de marche de 120 heures.